Les leçons française et néerlandaise de 2005 n’ont visiblement pas suffit à nos dirigeants quant à la façon dont il fallait promouvoir la construction européenne.
Les Jeunes Européens - France n’ont cessé de dénoncer, malgré leur soutien au Traité de Lisbonne et à ses avancées institutionnelles, la vision intergouvernementale que ces derniers nous offrent de la construction de l’Europe. Leur manque d’ambition et de réel projet pour l’Europe déçoit les citoyens européens.
Le repli national comme seul moyen d’expression pour les citoyens
Les Jeunes Européens-France regrettent le recours au repli national par les citoyens européens. Mais peut-on le leur reprocher alors qu’aucune alternative européenne ne leur est réellement proposée ? Même en France malgré le référendum perdu de 2005, la ratification parlementaire du Traité de Lisbonne s’est faite en catimini sans débat avec la population. Il n’est pas étonnant que les citoyens aient l’impression que la construction communautaire leur soit imposée par des décisions "d’en haut" ou « de Bruxelles ».
Les Jeunes Européens-France demandent aux dirigeants européens de tirer les leçons de leur échec. L’inter-gouvernementalisme et les ratifications nationales dispersées sur un an ne peuvent plus être considérés comme l’alpha et l’oméga de leur politique pour l’avenir de l’Europe. Quelque soit la question et/ou l’ambition du texte, les citoyens continueront à répondre en fonction de leurs intérêts nationaux si le débat n’est pas posé à tous les Européens dans le même temps.
Vers quelle sortie de crise ?
Pour la poursuite du processus de ratification et un projet européen renouvelé dans le cadre des élections de 2009
Il serait un déni de démocratie de bloquer les ratifications pour les 8 pays restant, à l’instar de ce qu’il s’était passé en 2005. Le processus de ratification doit donc se poursuivre car l’Union européenne à 27 ne pourra fonctionner correctement avec le Traité de Nice.
Les Jeunes Européens-France appellent donc le Conseil Européen des 19 et 20 juin prochains à s’engager pour la poursuite du processus de ratification et à prendre toute la mesure de ce nouveau rejet d’un texte fondamental. Les chefs d’Etats et de gouvernement doivent faire des efforts de pédagogie mais aussi et surtout développer un projet européen renouvelé prenant en compte les attentes des citoyens, qui appellent finalement à plus d’Europe, comme en témoignent les derniers Eurobaromètres..
Les élections européennes de 2009 doivent permettre de débattre de ce projet européen. C’est pourquoi les Jeunes Européens-France appellent les partis politiques européens à mener de réelles campagnes européennes en vue de ces élections et à proposer leur vision de l’Europe pour que les citoyens puissent se prononcer en toute connaissance de cause pour l’Europe plus démocratique et plus efficace qu’ils appellent de leurs vœux.
www.jeunes-europeens.org / www.taurillon.org
Créée en 1991, l’association Les Jeunes Européens - France est une association Loi 1901. Affiliée au Mouvement Européen France (3 000 membres en France) et aux Jeunes Européens Fédéralistes (25 000 adhérents dans 35 pays européens), l’association les Jeunes Européens - France est une association indépendante de tout parti politique, dont l’objet est la promotion de la construction européenne et la construction d’une union politique fédérale européenne.
Contact : Nicolas Jean, président des Jeunes Européens - France
Tél. : (+33) (0)6 87 03 89 62
Email : president chez jeunes-europeens.org
1. Le 15 juin 2008 à 08:56, par ? En réponse à : Répondre à la crise européenne : redéfinir le projet européen avec les citoyens grâce aux élections européennes de 2009
La résolution est bonne sur le fond en revanche il est faux et absurde d’écrire que la ratification parlementaire s’est faite en catimini. Elle a fait la une de tous les journaux. Nous aimerions que nos prises de position occupent le même espace médiatique !
2. Le 15 juin 2008 à 09:41, par Fabien Cazenave En réponse à : Répondre à la crise européenne : redéfinir le projet européen avec les citoyens grâce aux élections européennes de 2009
Cher anonyme, pensez à laisser un pseudo ou votre prénom dans vos prochains messages.
Moi, j’ai eu l’impression que cela s’est réalisée vite fait : nous n’avons pas eu de débat en France sur ce traité. Le seul pseudo débat était de savoir si « on nous passait dans le dos » pour reprendre une affirmation d’un député très à droite.
C’est ça le débat qu’on nous avait promis après le non français ? Quel dommage...
3. Le 15 juin 2008 à 10:52, par Diego Melchior En réponse à : Répondre à la crise européenne : redéfinir le projet européen avec les citoyens grâce aux élections européennes de 2009
Je suis pessimiste sur les élections européennes de 2009 et je crains une vague populiste sur l’Europe qui viendrait se flanquer sur la droite des libéraux conservateurs du PPE qui risquent d’être les grands gagnants du scrutin de 2009, vue l’Etat de la gauche dans bon nombre de pays...
4. Le 15 juin 2008 à 11:15, par Valéry En réponse à : Répondre à la crise européenne : redéfinir le projet européen avec les citoyens grâce aux élections européennes de 2009
"Le seul pseudo débat était de savoir si « on nous passait dans le dos » pour reprendre une affirmation d’un député très à droite. "
Mélenchon ? Chevènement ?
5. Le 15 juin 2008 à 14:59, par Kevin En réponse à : Répondre à la crise européenne : redéfinir le projet européen avec les citoyens grâce aux élections européennes de 2009
En cette (mauvaise) fin de semaine, j’ai passé mon temps à répondre à des nonistes de tout poil sur à peu près tous les sites d’actualité que je connaisse.
En comparaison avec les attaques que j’ai pu lire, notre résolution me semble d’une mollesse digne d’une motion consensuelle dans un congrès du PS... Je pense personnellement que nous devrions être plus offensifs.
J’ai remarqué qu’un thème « fédérateur » revenait très souvent dans les commentaires d’articles, et qu’il était partagé par les tenants du Oui comme ceux du Non : rendre l’Europe aux citoyens par l’élection d’une Assemblée constituante, ou pour être plus consensuel, une « assemblée au mandat institutionnel ».
Je sais que c’est une des idées des Jeunes Européens. Peut-être serait-il temps de lancer une vaste campagne pour pousser nos gouvernants à envisager sérieusement cette solution. Et si le Traité est véritablement abandonné, cela me semble être notre dernier recours. C’est aussi à mes yeux notre dernière chance de rendre l’Europe politique légitime : il faut responsabiliser les citoyens, mettre de l’enjeu derrière leur vote. (Qu’est-ce qui change pour les irlandais aujourd’hui ? rien...)
Une telle campagne nous permettrait de ne plus avoir à rougir lorsque des gens nous font remarquer que tout en défendant une Europe plus démocratique, nous avons soutenu une procédure de ratification par la voie parlementaire (« en catimini du peuple », parce que ce dernier aurait probablement voté non). Je ne remets évidemment pas ce soutien en question, je pense également que de temps en temps la fin justifie les moyens... mais une campagne forte pour une assemblée constituante serait une belle façon de revenir à nos principes.
Quelques détails sur une telle procédure :
– Il faudrait que partis pro-européens comme partis souverainistes participent à la campagne, qui devra être la moins nationale possible. Le type de texte qu’écrira cette assemblée sera ainsi directement lié aux résultats de l’élection : constitution, simple traité etc.
– Une fois l’assemblée élue, (peut-être en parallèle du Parlement européen qui continuerait son travail habituel), celle-ci devra rédiger un texte dans un délai imparti
– La procédure de ratification du texte devrait être la suivante :
– Si le texte proposé n’obtient pas la majorité, une nouvelle assemblée constituante devrait être élue.
Je sais bien qu’un tel projet a peu de chances d’aboutir. Mais si nous, jeunes européens fédéralistes, ne le défendons pas, qui le fera ? La crise actuelle nous laisse une chance de nous faire entendre. Profitons en. Depuis Maastricht, les citoyens s’écartent un peu plus de l’UE à chaque nouvelle étape institutionnelle. Il est temps de les remettre au centre.
6. Le 15 juin 2008 à 15:53, par Diego Melchior En réponse à : Répondre à la crise européenne : redéfinir le projet européen avec les citoyens grâce aux élections européennes de 2009
Rappel.
Il y a déjà eu une assemblée constituante lors du TCE qui contenait un tiers de parlementaire, certes ce n’était pas populaire à proprement dit comme le souhaitent beaucoup de nonistes, notamment à gauche. Mais cette covention regroupait des gens sérieux : des élus (en majorité sociaux-démocrates et démocrates-chrétiens) et des experts.
Cette convention a été critiquée par tous les nonistes et les nonistes de gauche n’ont pas arrêté de lui cracher dessus. Alors moi je rigoles quand des gens comme Mélenchon demande une constituante des peuples alors qu’il n’a pas arrêté de taper sur la convention de préparation du TCE qui était pourtant d’obédience modérée et de centre-gauche. Proposer une constituante pour 2009, dans l’Etat actuel des choses et de la situation politique en Europe, c’est du suicide.
En tant que citoyen proeuropéen, progressiste et fédéraliste, qui ait voté oui au TCE et défendant une Europe sociale, je ne souhaite clairement pas qu’on en arrive à une constituante qui risque de faire élire une majorité de représentants issus du PPE flanqués sur le droite de nationalistes. C’est vraiment le meilleure moyen, au vue de la vague libérale-conservatrice qui traverse l’Europe en ce moment, d’offrir sur un plateau d’argent la construction européenne aux libéraux et aux populistes ce qui écarterait toute construction d’une Europe plus sociale et plus intégrée politiquement.
7. Le 15 juin 2008 à 16:43, par Ronan En réponse à : Répondre à la crise européenne : redéfinir le projet européen avec les citoyens grâce aux élections européennes de 2009
Juste dire que je partage la même crainte que Diégo...
Soit on essaie de tout reposer à plat à la faveur de la campagne électorale des prochaines élections européennes, soit on essaie d’en profiter pour organiser un grand débat démocratique sur toutes ces questions...
Soit on passe outre le vote irlandais, on continue le processus de ratification sans bargouiner... Et alors, on ira - sans nul doute -vers de nouvelles désillusions, qui seront de pire en pire et de plus en plus cruelles.
8. Le 15 juin 2008 à 16:57, par Ronan En réponse à : Répondre à la crise européenne : redéfinir le projet européen avec les citoyens grâce aux élections européennes de 2009
Voilà : bien résumé, Kévin.
– 1- Ne plus donner le sentiment que nous accompagnons des procédés contestables. Revenir à nos principes.
– 2- "Rendre l’Europe aux citoyens par l’élection d’une Assemblée constituante (ou pour être plus consensuel, une « assemblée au mandat institutionnel »)."
Si nous, « jeunes européens fédéralistes », ne le demandons pas, qui le fera ?! La crise actuelle nous laisse une maigre petite chance de nous faire entendre. Essayons modestement d’en profiter...
– 3- Depuis Maastricht, les citoyens s’écartent un peu plus, chaque jour, de l’UE à chaque nouvelle consultation démocratique. Il est grand temps de les responsabiliser sur ces enjeux (et de les remettre enfin au centre du dispositif).
9. Le 15 juin 2008 à 21:43, par Valéry En réponse à : Répondre à la crise européenne : redéfinir le projet européen avec les citoyens grâce aux élections européennes de 2009
@Ronan : les deux hypothèses ne sont absolument pas incompatible.
Un grand débat lors des élections européennes, oui je l’espère, mais les imbéciles qui nous gouvernent sauront-ils être à la hauteur ?
Poursuivre les ratifications, ce n’est en aucun cas passe outre le vote des irlandais, c’est avant tout déclarer qu’il est intolérable qu’un seul pays puisse bloquer à lui seul le choix de tous les autres. C’est bel et bien ce que défendent les fédéralistes.
Ensuite en l’état actuel du droit il faudra consulter à nouveau les citoyens irlandais en leur offrant cette fois toutes les garanties nécessaires pour répondre à leurs inquiétudes.
Dire que la moitié des 40% d’électeurs qui se sont déplacés d’un pays qui fait 1% de la population de l’Union peut imposer sa volonté à toute l’Europe serait accorder aux nationalistes leur rêve le plus fou.
10. Le 15 juin 2008 à 22:49, par Ronan En réponse à : Répondre à la crise européenne : redéfinir le projet européen avec les citoyens grâce aux élections européennes de 2009
Les élections européennes : n’est-ce pas précisément le seul moyen de déborder par la base - qu’ils soient à la hauteur ou pas - ces fameux imbéciles qui nous gouvernent ?! Donner un grand sens à cette consultation, n’est-ce pas la meilleure façon de faire en sorte que les électeurs européens aillent voter ?!
(PS : Normalement, en droit international, pour l’adoption d’un tel traité, c’est l’unanimité qui est requise. Normalement un seul « NON », à quelque moment de ce processus, tue le processus. Je sais bien qu’il y a eu des précédants historiques où les processus de ratification ont été poursuivi malgré un refus initial (ex : Danemark, en 1992), mais rien n’interdira désormais plus les ennemis de l’Europe de dire que l’on change les règles du jeu à mesure que la partie avance...).
11. Le 15 juin 2008 à 23:01, par Ronan En réponse à : Répondre à la crise européenne : redéfinir le projet européen avec les citoyens grâce aux élections européennes de 2009
Juste rappeler que la Convention n’était pas à proprement parler une assemblée constituante mais seulement une assemblée consultative initialement chargé de remettre au Conseil européen un rapport sur certaines questions, puis de rédiger un projet de Constitution (par la suite devenu Traité constitutionnel).
Les principales critiques portées sur cette assemblée (critiques compréhensibles, pour ma part complètement audibles) étaient essentiellement les suivantes : elle n’était pas démocratiquement issue d’une élection « ad hoc » (et c’est effectivement le cas), son mandat ne vient principalement que des Etats (mais pas directement des citoyens).
Pour le reste, n’importe quels démocrates de Gauche comme de Droite devraient normalement (souverainistes exclus) pouvoir s’accorder sur un mandat constituant ne portant que sur des questions institutionnelles et politiquement neutres. Donc, vive la Constituante pour 2009 !
12. Le 16 juin 2008 à 01:45, par Kevin En réponse à : Répondre à la crise européenne : redéfinir le projet européen avec les citoyens grâce aux élections européennes de 2009
C’est ce qu’on appelle prendre le risque de la démocratie, non ? La convention était certes beaucoup plus démocratique que les procédés inter-gouvernementaux, mais un vote au suffrage universel donne une légitimité aux représentants élus encore bien supérieure.
Que le populisme nationaliste triomphe lors d’une telle élection à l’échelle européenne ne me paraît pas évident... Pour peu que les partis progressistes prennent la mesure de l’enjeu et se jettent vraiment dans la bataille...
13. Le 16 juin 2008 à 07:28, par Valéry En réponse à : Répondre à la crise européenne : redéfinir le projet européen avec les citoyens grâce aux élections européennes de 2009
Le droit international autorise d’autres procédures. La plupart des traités au niveau mondial par exemple entrent en vigueur une fois une majorité qualifiée de ratifications atteintes.
En outre nous ne sommes pas partisans du droit international mais de la création d’une démocratie européenne, c’est à dire où c’est le choix de la majorité qui l’emporte.
Toutefois, effectivement il faudra en effet obtenir la ratification de l’Irlande — comme à l’époque du traité de Nice — pour que celui-ci entre en vigueur.
14. Le 16 juin 2008 à 10:21, par Laurent Simon En réponse à : 5. Un plan en 5 points pour répondre au Non Irlandais, ratifier rapidement Lisbonne, et passer à autre chose !
Beaucoup de choses très intéressantes ont été dites ou écrites ces derniers jours.
Oui, il faut plus de transparence, plus de démocratie.
Oui il faut renforcer le rôle du Parlement Européen, et notamment déboucher le plus vite possible sur des partis véritablement européens.
Oui, il faut sortir le plus vite possible de cette règle de l’unanimité, qui bloque toutes les évolutions nécessaires, ou les ralentit beaucoup trop dans un monde en changement rapide et même accéléré.
Oui, il faut sortir de cette crise après le Non Irlandais, qu’il ne faut ni dramatiser, ni sous-estimer.
Je propose pour ma part un plan en 5 points, dans l’article suivant :
15. Le 16 juin 2008 à 13:57, par NingúnOtro En réponse à : Répondre à la crise européenne : redéfinir le projet européen avec les citoyens grâce aux élections européennes de 2009
Fallait défendre cette opinion en 2005, quand on arretá en sec les ratifications !
Mais évidamment, il y avait encore quelques référendums « dangereux » en perspective... maintenant, comme après le référendum irlandais il n’y à plus de risques (ou pas... peut-être les anglasis, les tscheques...) parce que tout ce qui reste sont des ratifications parlementaires « vendues »... cette fois-ci il faut poursuivre.
Malhonnète stratégie. On voit trop deux poids et deux mesures partout. Ce qui interesse, n’a pas besoin d’être démocrate... et il y à des choses et des choix plus démocrates que d’autres.
On se croierait à la grange, chez Orwell.
16. Le 16 juin 2008 à 15:42, par Fabien Cazenave En réponse à : Répondre à la crise européenne : redéfinir le projet européen avec les citoyens grâce aux élections européennes de 2009
Que racontez-vous ?
Les Jeunes Européens - France ont dénoncé l’arrêt de la procédure de ratification en 2005... On ne change pas d’avis, comme vous le constatez.
Encore une fois, nous réclamons un référendum pan-européen, cela ne veut pas dire que c’est « gagné » de notre point de vue. Juste, nous ne voulons pas que cela soit les Français et les Néerlandais en 2005 ou les Irlandais en 2008 qui décident pour les autres.
Imaginez que l’Irlande ait dit Oui ? Nous dirions la même chose : n’arrêtons pas les ratifications, mais le mieux serait que tous les citoyens s’expriment en même temps.
17. Le 20 juin 2008 à 18:17, par Ronan En réponse à : Répondre à la crise européenne : redéfinir le projet européen avec les citoyens grâce aux élections européennes de 2009
Juste dire que je trouve que ce CP des JE-France est notoirement plus intéressant que celui de leurs aînés du ME-France.
Non pas que je sois forcément d’accord avec absolument tout. Mais disons que je trouve que ce texte a au moins le grand mérite d’interpeler clairement les responsables et de leur rappeler leurs responsabilités.
Un texte des JE-France qui expose également beaucoup plus clairement quels sont les enjeux européens pour les semaines et les mois à venir.
18. Le 23 juin 2008 à 13:40, par Valéry En réponse à : Répondre à la crise européenne : redéfinir le projet européen avec les citoyens grâce aux élections européennes de 2009
« Juste dire que je trouve que ce CP des JE-France est notoirement plus intéressant que celui de leurs aînés du ME-France. »
En même temps ce n’est pas la première fois.
19. Le 23 juin 2008 à 17:07, par Ronan En réponse à : Répondre à la crise européenne : redéfinir le projet européen avec les citoyens grâce aux élections européennes de 2009
Faut-il s’en réjouir ou faut-il s’en lamenter ?!
(se réjouir : de la plus grande clarté du travail produit par les plus jeunes ; se lamenter : de l’obscurité pénétrante du travail des aînés ; en même temps, se lamenter, ça ne mène pas bien loin...).
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