L’extrême-droite autrichienne ne file plus droit
« Le plus gros concurrent dimanche sera le canapé (…) si la démocratie libérale vous tient à cœur, alors allez voter », tels sont les mots d’Alexander Van der Bellen, chef d’État autrichien, le vendredi 7 octobre, lors de la fin de la campagne présidentielle. Ce rendez-vous politique très attendu suite à l’élection présidentielle de 2016 marquée par un sursaut nationaliste ayant pratiquement conduit l’extrême-droite à la fonction présidentielle.