Après la perte de ses outils d’influence, l’Union est devenue un acteur politique réactif dans la crise syrienne
En 2008, à travers plusieurs accords bilatéraux, la Syrie prit part à la Politique européenne de voisinage (PEV), sans en être pleinement membre. L’Union se montrait optimiste sur Bachar Al-Assad. Au cours de son discours d’inauguration, le nouveau président syrien avait promis de nouvelles réformes politiques et souligné l’importance des droits de l’Homme, notamment de la liberté d’expression.